Description
De jour comme de nuit, en fin de semaine et jours fériés compris, le chauffeur de taxi est là pour transporter ses clients d’un endroit à un autre. Trois statuts différents cohabitent dans la profession : les artisans (56 %) conduisent leur propre véhicule ; les chauffeurs locataires (27 %) le louent à des prestataires spécialisés et les conducteurs salariés (17 %) travaillent pour le compte d’une entreprise de taxis. Propriétaire ou exploitant, le chauffeur de taxi doit obligatoirement obtenir une « autorisation de stationnement ». Le chauffeur de taxi ne peut exercer que sous un seul statut à la fois.
Le chauffeur de taxi ne se contente pas seulement d’attendre les clients et de les conduire d’un point à un autre. S’il veut travailler de façon rentable, il a tout intérêt à établir une stratégie de prise en charge : il doit savoir se trouver aux bons endroits (gares, aéroports, boîtes de nuit…) au bon moment !
Les conditions de travail sont parfois difficiles : stress de la conduite, contrainte d’être assis dans un véhicule pendant de longues heures, travailler de nuit ou les jours fériés… En contrepartie, le chauffeur de taxi a l’avantage de pouvoir organiser son temps de travail, être le « seul maître à bord ». Son instrument de travail : une voiture équipée des attributs de la profession : compteur horokilométrique, indicateur lumineux de tarif, système de communication radio, système d’information trafic, terminal de paiement, outils de téléphonie mobile…